Appel à contribution pour un numéro thématique
« Enquêter à partir des traces textuelles du web »
Coordonné par Jean-Philippe Cointet et Sylvain Parasie
Les chercheurs en sciences sociales ont de plus en plus la possibilité d’enquêter à partir de corpus textuels issus du web. D’abord parce qu’un registre plus large d’activités sociales génère des inscriptions textuelles dans les forums de discussion, sur les réseaux sociaux, dans les espaces de discussion des sites de presse ou d’autres plateformes en ligne. Ensuite parce que l’éventail des méthodes qui permettent de collecter ces inscriptions et de les traiter quantitativement s’est considérablement élargi ces dernières années. Aux méthodes quantitatives d’analyse textuelle communément utilisées en sciences sociales (lexicométrie, Iramuteq, Prospéro, etc.) se sont récemment ajoutées de nouvelles méthodes issues des mondes informatiques et de l’intelligence artificielle (modélisation thématique, analyse de sentiment, réseaux sémantiques, etc.).
Enquêter à partir de ces « traces textuelles » ne manque pas d’attrait pour le chercheur, qui accéderait ainsi, sans avoir à les solliciter, à des interactions et prises de parole d’un grand nombre d’acteurs dans le temps. Ce type d’enquêtes doit cependant faire face à plusieurs obstacles : les traces sont produites par des plateformes qui ne partagent pas les intentions du chercheur ; elles sont volumineuses et difficiles à traiter ; elles s’accompagnent d’informations de nature relationnelle (des liens d’amitié, des likes, des retweets, etc.) mais disent peu de choses des propriétés sociales des locuteurs (sexe, âge, diplômes, revenus, orientations politiques, etc.) ; elles nécessitent des méthodes de traitement qui ont souvent été conçues en dehors des sciences sociales, etc. L’objectif de ce nouveau numéro est de contribuer à l’enrichissement des méthodes d’enquête en sciences sociales, en montrant de quelles façons la recherche peut dépasser ces obstacles pour tirer pleinement parti de la richesse de ces traces textuelles.
Nous recherchons des articles qui s’appuient sur des enquêtes quantitatives de corpus textuels issus du web. Les travaux qui articuleront approches qualitatives et quantitatives sont également les bienvenus. Les résultats devront se fonder sur une véritable analyse empirique. Les propositions d’ordre plus théorique ou même purement méthodologiques ne seront pas retenues. Les recherches s’inscriront en outre dans les sciences sociales (sociologie, histoire, anthropologie, science politique, sciences de l’information et de la communication, géographie, notamment). Nous encourageons également les auteurs, lorsque cela est possible, à mettre leurs données en accès libre au moment de la publication.
Calendrier
Les articles sont attendus pour le 1er octobre 2018.
Nous vous demandons d’informer le secrétariat de rédaction de la revue de votre intention de contribution en adressant pour le 15 juin 2018, une proposition d’article d’une page précisant la question de recherche, le corpus étudié et la ou les méthodes utilisées.
La parution du dossier est prévue au printemps 2019.
Les intentions de contribution et les textes sont à adresser à : aurelie.bur@enpc.fr
Plus d’informations sur le site de revue Réseaux.
Résumé
De nombreuses initiatives citoyennes de monnaies locales et complémentaires ont vu le jour à travers le monde en réaction à la crise des subprimes de 2007-2008 et à l’impuissance des gouvernements à prévenir la débâcle financière et économique qui a suivi. Ces initiatives veulent répondre à une incompréhension généralisée du fonctionnement du système monétaire et financier. Une quarantaine de monnaies locales sont aujourd’hui en circulation en France, autant sont en projet. Des milliers de citoyens ont choisi d’utiliser d’autres monnaies que la seule monnaie centrale pour effectuer leurs transactions et leurs échanges.
Ce livre présente un panorama à la fois conceptuel et historique des expériences monétaires pionnières dans un monde en perpétuel mouvement. Après avoir exploré les réussites mais aussi les limites des modèles actuels de monnaies locales, il analyse les différents leviers qui peuvent permettre la montée en puissance de ces initiatives décentralisées afin qu’elles deviennent des vecteurs de la transition écologique et sociale des territoires.
Préface de Michel AGLIETTA
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Les auteurs et le préfacier
Actuellement étudiante en master « Développement agricole » à l’université de Copenhague, Marion CAUVET a suivi un parcours pluridisciplinaire mêlant sciences naturelles et sciences sociales (écologie, sociologie, économie de l’environnement) à Rennes et à Paris (AgroParisTech). Elle travaille aujourd’hui sur le potentiel des monnaies locales pour faciliter la transition vers des systèmes agricoles durables et territoriaux dans les pays en développement.
Ancien élève de l’ENS de Cachan en sciences sociales et ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, Baptiste PERRISSIN FABERT est économiste de l’environnement. Ses travaux académiques portent sur le verdissement de la finance, la fiscalité écologique, l’économie circulaire et les négociations climatiques. Il intervient aujourd’hui au cœur de l’action publique en faveur de la transition écologique et solidaire.
Michel AGLIETTA est professeur émérite de Sciences économiques à l’université Paris 10. Parmi de nombreux ouvrages, il a récemment publié La Monnaie : entre dettes et souveraineté (Odile Jacob, 2016).
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Sommaire
Préface
Introduction
I – LES MONNAIES : PANORAMA DES THÉORIES ET DES INITIATIVES LOCALES
La monnaie sous toutes ses formes
Qu’est-ce que la monnaie ?
Qu’est-ce qu’une monnaie complémentaire ?
Un instrument à objectifs multiples
Proposition de typologie
Monnaies convertibles
Crédits mutuels et création monétaire
Les monnaies complémentaires en France
Des générations de monnaies complémentaires
Utilité et limites des monnaies locales complémentaires citoyennes
II – FAIRE DES MONNAIES LOCALES LES ACCÉLÉRATEURS DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE DES TERRITOIRES
Les atouts du fonctionnement hybride d’une monnaie locale
Tisser un réseau local économique complet
Dégager des ressources financières additionnelles
Services sociaux et/ou environnementaux : les nouveaux étalons de la création monétaire
Créer une rupture avec la fongibilité de la monnaie
Monétiser des services environnementaux et sociaux
La technologie de la blockchain
Pour une gouvernance participative et décentralisée des monnaies locales
Une gouvernance citoyenne
Un audit participatif des richesses du territoire
Des associations aux Scic : transformation des modes de gouvernance
L’engagement des pouvoirs publics
Les freins à la montée en puissance des monnaies locales
Trois coups de pouce de la puissance publique
Le coût de ces leviers
Faire bouger les lignes monétaires pour renforcer la cohésion des territoires
Conclusion
Bibliographie
Appel à participation à l’École Thématique de l’IFRIS
No(s) futur(s)
Bordeaux, 19-22 juin 2018
La thématique des futurs a toujours tenu une place importance dans le développement des science & technology studies. Le rapport au futur est inscrit dans la production scientifique qui légitime très souvent une visée de prédiction, et dans la construction sociale des technologies en intégrant des visions futures souhaitables.
Les STS ont donc produit des travaux multiples sur les futurs, documentant par exemple, les modes et institutions de connaissance du long terme. Elles ont prêté attention aux approches, aux instruments, pratiques et communautés qui cherchent à prédire le futur ou à élaborer des modalités de décision et d’action anticipée, depuis la prospective jusqu’à la modélisation, dans des champs variés allant du climat à la démographie, abordant aujourd’hui les nouveaux modes de prédiction algorithmique. Une grande multiplicité d’instruments et d’approches (planification, prévision, modélisation, prospective, futurologie,…) a accompagné le profond changement dans les rapports à l’avenir (progrès, évolutionnisme modernisateur, catastrophisme,…).
D’autres travaux ont porté sur le rôle des savoirs scientifiques et techniques dans la création des futurs, en explorant l’émergence de nouveaux agencements sociotechniques, les constructions symboliques et culturelles mais aussi techniques et politiques de ces futurs. Ainsi, plusieurs concepts centraux des STS actuelles en sont sortis comme ceux de performativité, imaginaire sociotechnique, promesses technologiques, et gouvernance anticipatrice.
Aujourd’hui, les STS au sens large portent attention à ce qu’on pourrait appeler la construction de visions politiques alternatives. Les promesses technoscientifiques portent et installent des visions du futur et en excluent nécessairement d’autres. Ces travaux se sont notamment attachés à explorer les futurs alternatifs dans le cas de l’agriculture, de la santé, de l’énergie ou de la ville. Une telle démarche se retrouve aussi dans les travaux consacrés aux communautés scientifiques dans les pays dits en développement et les sciences hors d’occident où, après les indépendances, la révision des futurs imaginés par la science et la technologie pour le développement a permis de progressivement construire une critique de la pensée post-coloniale moderne.
Ces travaux montrent que les comportements collectifs, les relations sociales, les institutions sont fondées sur des manières de définir et d’interpréter des futurs crédibles ; qu’il y a toujours une forme d’« abduction » d’un certain futur dans le présent et une manière de le légitimer. Plus généralement, il y a toujours une politique des futurs.
L’édition 2018 de l’école thématique de l’IFRIS est l’occasion, ainsi, de se saisir de la question des futurs, de discuter des nombreux angles d’attaque de cette question que les STS ont développé, ou de proposer de nouvelles lectures. L’Ecole est ouverte aux doctorants et post-doctorants qui travaillent dans les domaines de recherche de l’IFRIS et des équipes du LabEx SITES : STS, histoire, sociologie et anthropologie des sciences et des techniques, économie et gestion de l’innovation et des politiques de recherche, droit des sciences et des techniques. Elle se composera d’exposés de conférenciers invités, d’ateliers de lecture et de discussion de textes importants pour la réflexion commune sur le thème, ainsi que d’exposés de doctorants et de post-doctorants sur leurs objets de recherche.
Les doctorants et post-doctorants souhaitant participer à cette École Thématique sont invités à soumettre une proposition (d’une page maximum) résumant l’objet de leur communication. Les propositions qui s’attachent à traiter des aspects liés à la thématique des futurs sont particulièrement bienvenues, même si cela ne constitue en rien une obligation pour participer à l’École Thématique.
Les participants seront sélectionnés sur la base des résumés envoyés au plus tard le 1er avril 2018.
Les textes des communications devront être envoyés avant le 1er juin 2018.
Contact : Julie Rust (rust@ifris.org) ou direction@ifris.org
Adresse du site d’affectation : Plateforme CorTexT, Université Paris Est, Cité Descartes, Bois de l’Etang, 5 rue Galilée, 77420 Champs sur Marne, RER A Noisy-Champs
Contact : Marc Barbier (Directeur de la Plateforme CorTexT)
Adresse électronique : marc.barbier-at-inra.fr
Durée : 24 mois
Rémunération : selon grille de rémunération en vigueur dans la fonction publique suivant le diplôme et l’expérience (incl. indemnités partielles de transport)
Contexte de travail : L’ingénieur(e) ou assimilé travaillera au sein de la plateforme CorTexT (www.cortext.net) de l’unité de recherche LISIS (http://ifris.org/fiche/lisis/).
Mission : L’ingénieur(e) contribuera au développement d’applications et de services web ( allant du backend au frontend) ayant pour objet l’analyse de données textuelles. Il s’agira de maîtriser la récupération et l’analyse des données issues de bases de connaissances hétérogènes (base de donnée bibliographique, sites web, forums, plateformes de micro-blogging, blogs, wikis, réseaux sociaux, etc.) afin de construire les outils ad-hoc permettant leur extraction et leur formatage d’une part et, d’autre part, de mettre à disposition le résultat de ces analyses, via des API. Il s’agira notamment de fournir une capacité de visualisation de ces résultats (en lien avec les données d’origine), permettant l’exploration des questions de recherche portées par des usagers en sciences sociales. Il/Elle sera chargé(e) d’accompagner le développement de l’application CorTexT Manager et d’autres applications en cours (notamment de Topic Modelling) et de produire des solutions à visée plus générique en lien avec le Projet Européen d’Infrastructure RISIS.
Compétences :
De solides compétences en programmation sont requises, ainsi que la maîtrise de langages liés au web tels que PHP, Python ou Javascript, dans un environnement Linux. En outre, une connaissance des outils et méthodes digitales quali-quantitative en sciences sociales est également nécessaire. Une bonne connaissance des bases de données scientifiques et des principes de collecte de données (“scrapping”) sur le web est nécessaire. Une expérience préalable de travail dans un contexte de plateforme de développement numérique est vivement souhaitée. Enfin l’ingénieur ou assimilé sera également amené à manipuler des corpus de données nécessitant la connaissance d’outils de gestion de base de données et devra donc être en capacité à interagir avec l’ingénieur administrateur des serveurs et des services de la plateforme CorTexT. Les analyses de données à intégrer dans des solutions web auxquels l’ingénieur(e) sera confronté(e) couvrent : l’analyse statistique, l’analyse textuelle et l’analyse de réseaux. Une formation de base en sciences sociales est indispensable. Enfin, la maîtrise courante de l’anglais scientifique et technique est impérative.
Diplôme ou niveau de qualification : Jeune diplômé BAC+5 ou Bac+4 avec Expérience. Diplôme d’ingénieur, Master ou expérience professionnelle équivalente avérée, la curiosité d’esprit et l’expérience seront primordiales.
Capacités personnelles : L’ingénieur ou assimilé sera amené à construire des réponses informatiques en réponse à la description de protocoles d’analyse ou de problèmes d’enquête numérique formulés par des chercheurs. Il est donc nécessaire d’avoir une bonne capacité d’écoute et de savoir traduire des demandes en spécifications méthodologiques pour conduire des traitements ad-hoc. L’ingénieur.e devra être doté.e d’une autonomie et de qualités d’organisation lui permettant de gérer deux projets concourants pour en tirer des enseignements méthodologiques transférables.
Le 18 Janvier 2018 se tenait l’Assemblée Générale de l’IFRIS. Cette réunion qui a lieu chaque année est l’occasion pour la plupart de nos post-doctorants de présenter les différentes avancées de leurs recherches.
Voici les vidéos de cette après-midi :
Présentation de Gemma Cirac Claveras – The weather privateers. Meteorology and commercial satellite data (LATTS)
Présentation de Luis Felipe Rosado Murillo – Assembling ‘Open Hardware’ at CERN (LISE)
Présentation de Olivia Fiorilli – “Policing the social body: medicine and the administration of légal gender récognition in France and Italy, an historical perspective » (CERMES3)
Présentation de Helena Prado – The tip of the iceberg. Zika epidemic and microcephaly risk: Global health emergency VS biopolitics and social inequalities regarding perinatal care in Brazil (CEPED)
#ENBREF – Assemblée Générale de l’IFRIS 2018
L’Agence européenne des produits chimiques a rendu cette semaine un rapport sur la présence de substances interdites par l’Union Européenne, pourtant présentes dans nos produits de consommation courante. Les taux les plus élevés ont été relevés dans les jouets, qui contiennent des phtalates.
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CorText : La Plateforme Digitale du LISIS
Formation Atelier aux usages du CorTexT Manager
Le 13-14-15 FÉVRIER 2018 – FORMATION « CORTEXT MANAGER »
Formation ouverte à tous les membres de l’IFRIS
La Centrifugeuse Salle de Conférence – 007
Adresse : CentrIFUgeuse – Bâtiment Ada Lovelace, 2 rue Alfred Nobel 77420 Champs-sur-Marne
Contact: Marc.barbier@inra.fr, à Marne La Vallée
Inscription : lynda.silva@u-pem.fr
Nous vous attendons le mardi 13 février à partir de 10:00 à La Centrifugeuse
Contexte. La plate-forme numérique CorTexT combine plusieurs compétences scientifiques et techniques: le traitement du langage naturel, l’extraction d’information, la gestion des connaissances, l’analyse des réseaux complexes, la scientométrie, la conception de solution informatique de traitement de données. Outils et logiciels, conçus et développés au sein de la plate?forme, sont mis à la disposition des chercheurs via un service Web. La plateforme CorTexT a développé un projet phare avec CorTexT Manager pour répondre à certains besoins de chercheurs menant des études empiriques dans les domaines des études sociales de la science. CorTexT Manager est un instrument pour conduire ces études et son usage nécessite au départ un appui méthodologique, de construction de jeux de données et d’analyse avec des fonctionnalités de visualisation des données.
Invitation. La plateforme Cortext vous a retenue pour participer à la Formation?Atelier le 13-14-15 Février 2018 (début à 10:00 et fin à 18:00 chaque jour ; repas fournis sur place). Cette Formation?Atelier sera l’occasion de tester la nouvelle version de l’interface de CorTexT Manager, qui outre un Design différent contient une fonctionnalité de travail collaboratif.
Objectif de la FormationAtelier. La nouvelle interface CorTexT Manager V2 offre un large éventail d’outils et de méthodes: Statistique / analyse exploratoire de données, outils d’analyse textuels, la Cartographie scientométrique, la cartographie hétérogène et l’analyse structurale des réseaux, l’analyse des séries temporelles. La plate?forme vous propose ainsi : de découvrir et de vous familiariser avec certains des modules de collecte et d’analyse de données hétérogènes issues de sources variées, et de les mettre en œuvre sur des jeux de données qui sont les vôtres ou qui vous seront apportés.
Pré-requis. Pour la réussite de cette opération, il est nécessaire de réunir un nombre limité de participants (maximum une quinzaine), aussi, en fonction des engagements à participer la Plateforme CorText donnera la priorité aux chercheurs qui n’ont pas déjà pu bénéficier formation. Bien entendu cette initiative sera renouvelée. Il est demandé aux participants de venir avec une courte présentation de leur projet ou de leurs intentions et éventuellement un sujet à traiter avec possiblement un jeu de données.
J’en profite pour vous rappeler que vous êtes les bienvenu(e)s pour présenter vos projets, vos idées, vos envies. Prendre contact à : servicelab@cortext.fr
Marc Barbier – Directeur de CorTexT ? Plateforme Digitale développée par l’Equipe CorTexT-Lab de l’UMR LISIS pour l’IFRIS et le LABEX SITES
Jour 1 – 13 Février 2018 (repas fourni sur place)
10:30 Accueil avec un café
Tour de table : Présentation des participants de leurs projets et intentions
Présentation du programme de la formation
Présentation de la plateforme CorTexT
14:00 – 18 :00 Série d’Exposés, d’activités pratiques et de discussion sur les trois phases essentielles de la prise en main de CorTexT Manager
La Collecte des données
. Présentation des sources de données, leurs interfaces et les options
. Stratégies de recherche de données et de délinéation de corpus
. L’extraction des données, formats de données, transformation de données.
L’analyse des données
. Exploration de données en utilisant un module de statistiques descriptives. Description des séries temporelles, leur définition et leur utilisation.
. Analyse des données textuelles. Champs textuels dans les sources de données. Principes et étapes de base de l’extraction de termes. Indexation automatisée de données textuelles, lemmatisation et le filtrage statistique.
La Visualisation de graphes
. Cartographie des réseaux hétérogènes. Dynamique des réseaux socio?sémantiques. Description méso-scopique de données, clusterisation et détection des communautés.
Jour 2 – 14 Février 2018 (10:00 -18:00) (Repas fourni sur place)
Atelier pratique avec assistance: reprise des acquis de la veille, remobilisés sur une question et un corpus ou des corpus portés par chaque usager, travail par petit groupe
Etape 1. La préparation de corpus : mise en œuvre et partage sur les difficultés, et discussion
Etape 2. Analyse des données : mise en œuvre et partage sur les difficultés, et discussion
Jour 3 – 15 Février 2018 (10:00 -18:00) (repas fourni sur place)
Matin : Atelier pratique avec assistance: reprise des acquis de la veille, remobilisés sur une question et un corpus ou des corpus portés par chaque usager, travail par petit groupe
Après-midi : Atelier présentation et discussion des résultats :
Etape 3. Présentation des résultats
Etape 4. Discussion sur les rendus et leurs sens par rapport au projet de connaissance des usagers
Discussion générale et retour d’expérience sur la journée.
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